Voilà un an que notre maison a été ravagée par un incendie. Un an passé à attendre. Un an à dépendre du bon vouloir d’un expert mandaté par notre assurance. Aujourd’hui, rien n’a changé. Nous sommes toujours dans l’incertitude, coincés entre colère et incompréhension.
L'expert d'assurance : 4 visites pour rien
Depuis l’incendie, cet expert s’est déplacé chez nous 4 fois. Quatre déplacements à plus d’une heure de son cabinet. À chaque visite, le même scénario : des photos, des observations, mais aucune réponse claire.
Pire encore, lors de sa dernière venue, il a décidé qu’il fallait maintenant un bureau d’étude pour déterminer si notre maison doit être détruite ou non. Pourquoi cette question n’a-t-elle pas été posée dès le départ ? Quatre visites, quatre reportages photos, et nous n’avons toujours aucune avancée.
Cet expert, mandaté par l’assurance, ne se rend-il pas compte du temps précieux qu’il nous vole ? Ou bien aime-t-il simplement nous voir souffrir ?
Des démarches sans fin : l'impression d'être pris en otage
Nous avons tout essayé :
Appels téléphoniques réguliers
Courriers recommandés
Emails de relance incessants
À chaque fois, la même réponse : « Nous attendons les disponibilités de l’expert ». Comment est-il possible qu’un expert soit incapable de fixer clairement un rendez-vous sur son calendrier ?
Son mépris a atteint son sommet lorsqu’il nous a lancé avec froideur :
« Quand ça veut pas… ça veut pas ! »
Ces paroles résument parfaitement son attitude : l’indifférence, le détachement, voire le cynisme face à notre détresse.
Notre maison se dégrade, notre vie aussi
Pendant que l’expert gagne du temps, notre maison se dégrade à vue d’œil. Les murs s’effritent, l’humidité s’installe. Chaque jour qui passe aggrave la situation.
Et nos enfants ? Comment expliquer à nos enfants que leur quotidien dépend d’une personne inhumaine, insensible à notre détresse ? Nous sommes pris en otage par une bureaucratie froide et sans cœur.
Un combat juridique devenu inévitable
Face à cette situation intenable, nous avons décidé de réagir.
Nous avons pris conseil auprès d’un avocat.
Nous avons contacté un expert d’assuré pour défendre nos intérêts face à l’assurance.
Nous espérons que ces démarches feront bouger les choses. Il n’est plus acceptable d’être laissés dans l’incertitude après plus d’un an d’attente.
Juin 2026 : à la rue si rien ne change
À cause de l’inaction de cet expert mandaté par notre assurance, notre situation devient critique. Si rien ne change d’ici là, nous serons à la rue en juin 2026. C’est la triste réalité dans laquelle nous vivons actuellement.
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